LE BOUCHERON

Accueil à la ferme
Une rencontre, une maison, et un rêve qui prend forme…

NOTRE PROJET

Le Boucheron est le nom du lieu-dit ou Nicolas a grandi. Il a repris la ferme familiale et a développé, comme ses pare nts avant lui, le troupeau de brebis Charollaises. Au bout d’une petite route qui serpente au milieu des arbres et des champs, se trouve la vieille demeure de la famille. Inhabitée pendant de longues années, mais toujours majestueuse et pleine de cachet, la maison a retrouvé une nouvelle jeunesse avec l’arrivée de Jane dans la vie de Nicolas.

Il leur a tout de suite semblé évident que ce lieu avait besoin de revivre. A l’automne 2012 ils se lancent corps et âmes dans la rénovation de ce corps de ferme datant du 16eme et du 19eme siècle. La rénovation deviendra l’activité principale de Jane pendant presque 4 ans, au cours desquelles elle aura touché a tous les corps de métiers du bâtiment; construit une piscine, posé des vélux, isolé, plaqué, carrelé, posé du parquet, peint… Bref, le bâtiment n’a presque plus de secret pour cette San Franciscaine, ancienne responsable communication et marketing qui a laissé sa vie parisienne pour rejoindre le Limousin. Au bout du compte, après de nombreuses heures d’effort et de travail, et grâce à l’aide de leur famille et de leur entourage, Jane et Nicolas ont ouvert un grand gite pour 15 personnes et une maison d’hôte avec 4 chambres d’hôtes en Août 2016.

C’est dans ce lieu calme et enchanteur que Jane et Nicolas sont heureux de vous accueillir pour partager avec vous un peu de leur vie. Jane vous proposera également de découvrir le quotidien d’un élevage de brebis avec une visite de ferme.

Une démarche écologique

NOTRE PHILOSOPHIE

Lors de la rénovation Jane et Nicolas se sont orientés vers des solutions écologiques.

Une isolation en laine de bois

Pour isoler les murs donnant sur l’extérieur ils ont utilisé de la laine de bois. Ce matériau issu d’une matière renouvelable à d’excellentes qualités d’isolation contre le froid mais également contre la chaleur. 

Une chaudière  à plaquettes de bois

Une chaudière  à plaquettes de bois a été choisie pour chauffer la maison, l’eau chaude sanitaire et une des piscines. Ce que l’on appelle de la plaquette est en fait du bois déchiqueté. L’avantage de la plaquette est qu’elle permet de valoriser des bois blancs qui poussent vite et qui en bois buche n’ont pas une grande valeur calorifique. Cela permet donc d’utiliser à bon escient les bois du taillage des haies et des bords de ruisseaux très présents sur l’exploitation et peu valorisés jusque là.

Un jardin d’assainissement

Pour isoler les murs donnant sur l’extérieur ils ont utilisé de la laine de bois. Ce matériau issu d’une matière renouvelable à d’excellentes qualités d’isolation contre le froid mais également contre la chaleur. 

D’autres mesures d’économie d’énergie

Toutes les ampoules de la maison sont basse consommation.
Le tri sélectif est évidemment respecté, et un récipient supplémentaire est prévu pour composte. 

Le Boucheron: une ferme familiale

L’EXPLOITATION – LA FERME

Nicolas a repris l’exploitation ovine de ses parents en 2002. Il représente la troisième génération a travailler les terres du Boucheron. Aujourd’hui la ferme s’étant sur 200 hectares qui nourrissent un troupeau de  1600 brebis Charolaises.

Les agneaux, la production principale de l’exploitation, sont commercialisés sous le signe officiel de qualité “Les Eleveurs Limousin”. Nicolas cultive aussi du blé, de l’orge, de l’avoine, du triticale et du mais. Ces céréales permettent de nourrir le troupeau pendant l’hiver et complète la ration des agneaux en plus du lait maternelle pour optimiser leur engraissement.

Les trois quarts de la surface de la ferme sont en herbe, et permettent a tout ou partie du troupeau de pâturer toute l’année. Les zones humides de bords de ruisseaux et les zones ne pouvant être cultivées sont toujours en herbe et sont conduites de façon extensives sans fertilisation ni traitement phytosanitaire.Les prairies cultivées, elles, sont semées a base de trèfle pour assurer une autonomie supérieur en protéine et éviter les achats de tourteau de soja brésilien.

De façon général Nicolas cherche a limiter au maximum ses achats pour valoriser au mieux les ressources de l’exploitation.